La domiciliation d’une société correspond à son adresse administrative ou à son siège social. Cette adresse doit généralement être déclarée au Centre des Formalités Commerciales (CFE) pour que la société soit régulièrement constituée et immatriculée. En ce sens, l’immatriculation d’une société au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS) ou au Répertoire des Commerces (RM) nécessite une adresse domiciliaire. Le droit d’utiliser les locaux de la société ainsi déclarés comme le siège social doit également être justifié. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur la domiciliation fiscale.

La domiciliation fiscale : c’est quoi exactement ?

Lors de l’enregistrement d’une société, la domiciliation entreprise est régie par les règles, lois et réglementations du pays dans lequel l’entreprise opère. Le siège social bénéficie d’ailleurs de la nationalité de pays, la résidence fiscale détermine donc la nationalité de la société. L’adresse fiscale d’entreprise figure dans tous ses documents officiels et dans ses statuts. Parmi les principales formes d’enregistrement fiscal, on peut citer la résidence pour activités au domicile de l’entrepreneur, la résidence commerciale dans une société ou un centre d’affaires offrant un emplacement de bureau en France et la résidence commerciale d’une entreprise ou d’un centre d’affaires fournissant des services supplémentaires à l’étranger. Vous pouvez aussi choisir de faire appel à un professionnel pour installer votre entreprise à domicile.

La domiciliation au domicile d’auto-entrepreneur

La domiciliation d’un indépendant peut être traitée à l’adresse du domicile personnel de l’indépendant. En effet, la création de la société ne nécessite pas systématiquement un local professionnel distinct pour l’exercice d’activités professionnelles imposables. En ce sens, des entrepreneurs individuels (entrepreneurs automobiles, artisans ou commerçants) peuvent enregistrer leurs activités professionnelles à l’adresse de la résidence personnelle. D’une manière générale, bien que les locaux associés aux résidences commerciales soient affectés à des fins spécifiques, telles que des activités professionnelles ou des résidences, le statut juridique flexible d’auto-entrepreneurs français leur permet également d’exercer leur résidence professionnelle. Cependant, ils doivent s’assurer que les règlements actuels et futurs de la copropriété ou de bail ne s’y opposent pas. Dans ce cas, les entrepreneurs automobiles souhaitant s’implanter dans le pays doivent vérifier l’existence de dispositions contractuelles ou réglementaires (dispositions de copropriété, conditions de bail d’habitation ou bien règles d’urbanisme). De plus, il faut que le créateur d’entreprise notifie au bailleur ou au syndic de copropriété qu’il souhaite utiliser sa résidence privée pour ses événements professionnels. Les activités professionnelles doivent aussi être exercées exclusivement par ses occupants et ne doivent recevoir ni biens ni clients. Si vous souhaitez exercer des activités professionnelles à domicile, pensez à souscrire le nouveau contrat professionnel ou à prolonger votre contrat d’assurance « habitation ». En fait, l’inventaire peut être endommagé, l’équipement professionnel peut être détruit ou volé, et vous risquez de vous blesser.

La domiciliation de l’entreprise auprès de la société de domiciliation

Presque tous les entrepreneurs (particuliers ou entreprises) ont le potentiel d’utiliser les services d’une agence à domicile. Celui-ci doit être agréé par le préfet de police ou le chef de service et enregistré au RCS. Pendant la demande d’immatriculation de société au RCS, les indépendants ou les résidents doivent présenter un justificatif d’adresse fiscale qui sera pris en compte pendant l’imposition de ce dernier. Ladite preuve peut prendre la forme du contrat de domicile signé par le locataire ou le propriétaire (domicile). Ce contrat a une durée minimale de trois mois et doit être écrit. Renouvelable par défaut d’engagement sans préavis de résiliation ou de cessation d’activité professionnelle. En outre, la référence du siège social, la raison sociale ou le nom de la société de domicile doivent être mentionnés au RCS du domicile. Les activités professionnelles ne peuvent avoir lieu dans des locaux à usage professionnel mixte ou à usage principalement résidentiel. Les indépendants peuvent également exploiter leur entreprise dans les locaux d’une autre entreprise. Dans le cas de la société mère et de ses filiales, aucun contrat de domicile n’est requis. Cependant, n’étant pas propriétaire des lieux, l’accord écrit du bailleur doit être préalablement obtenu avant l’inscription. En termes d’obligations, le mandataire domiciliaire doit mettre à disposition du domicile un local pour les réunions régulières d’organes d’administration, de direction et de gestion, tout en permettant la consultation, la confidentialité et la conservation de documents administratifs de société.

La domiciliation de l’entreprise dans une pépinière d’entreprises et dans un local propre

Les entrepreneurs automobiles ont également le droit de rejoindre des incubateurs d’entreprises. Principalement implantée dans des locaux occupés par plusieurs entreprises, cette structure permet aux entrepreneurs automobiles de bénéficier de services et d’équipements mutualisés, d’espaces d’accueil et de réunion, d’un secrétariat, accompagnés d’experts. Le lieu des créateurs d’entreprise s’adapte à la taille des entreprises émergentes tout en proposant des tarifs compétitifs. Les services fournis par ces participants domiciliés sont un critère important lors du choix d’une adresse domiciliaire fiscale. Lorsqu’ils disposent des moyens financiers qui sont nécessaires, les auto-entrepreneurs peuvent démarrer leur activité dans un lieu dédié à leurs activités professionnelles. Ils peuvent être propriétaires ou locataires.

Tendance récente, le bullet journal (ou BuJo) se conçoit comme un mode d’organisation à la fois efficace et ludique. Ce petit carnet vous permet en effet de planifier vos échéances professionnelles sans oublier vos aspirations plus personnelles. Le format papier comprend toutefois quelques inconvénients majeurs, à commencer par son manque de flexibilité. Comment faire lorsque vos journées à rallonge dépassent le cadre d’une simple page ? Voici 3 bonnes raisons de vous convertir au BuJo numérique.

Bonne raison n° 1 : gagnez en flexibilité

Vous êtes déjà adepte du bullet journal traditionnel ? Vous avez donc peut-être fait l’expérience de la page trop courte lors d’une journée plus chargée que les autres. Votre to-do list s’allonge jusqu’à ce que vous vous retrouviez sur la page prévue pour le lendemain. Dans ce cas de figure, vous n’avez pas le choix : il vous faut repenser toute l’organisation de votre carnet. En optant pour le bullet journal numérique, vous éviterez facilement cet inconvénient. Les pages dédiées aux jours, aux mois ou même à vos listes personnelles s’allongent autant que vous en avez besoin. Que vos journées soient particulièrement chargées ou non, votre journal s’adapte aisément à votre rythme et à vos envies en matière d’organisation. Des codes simples vous aident à visualiser l’état de chaque tâche, mais aussi à vous motiver ou à vous inspirer. Vous disposez enfin de tout l’espace dont vous avez besoin pour consigner vos pensées du jour et libérer ainsi une partie de votre charge mentale.

Bonne raison n° 2 : optimisez votre productivité

L’un des principaux atouts du bullet journal réside dans le gain de productivité qu’il vous offre. Cet outil vous permet en effet d’obtenir une vision d’ensemble de vos journées, de vos mois et même de l’année en cours. La version papier peut toutefois complexifier la recherche d’informations. En dépit d’un index soigneusement conçu, vous aurez parfois du mal à retrouver une phrase consignée pour plus tard. Les to-do lists à rallonge peuvent également se multiplier : vous vous habituez peu à peu à reporter certaines tâches qui se retrouvent inlassablement dans la liste du lendemain. En choisissant le bullet journal numérique, vous éviterez l’ensemble de ces désagréments. Un moteur de recherche interne vous permet de retrouver l’information dont vous avez réellement besoin en un clic. Des indicateurs simples, mais efficaces vous aident quant à eux à accomplir toutes vos tâches de la journée. Vous n’avez qu’à vous laisser guider par les symboles et les codes spécifiques de votre bullet journal digital.

Bonne raison n° 3 : misez sur la sécurité

Véritable assistant au quotidien, votre bullet journal contient des informations sensibles. Au-delà de vos rendez-vous professionnels et des deadlines que vous devez respecter, vous y consignez peut-être vos objectifs de vie ou vos rêves. Plus qu’un simple agenda, votre bullet journal devient rapidement votre coach en développement personnel. Les listes que vous y dressez vous aident à y voir plus clair, mais elles peuvent aussi relever du domaine de l’intime. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que vous ne souhaitiez pas le faire lire à n’importe qui ! En optant pour le bullet journal numérique, vous gagnerez en sécurité. Les pages de votre carnet numérique sont enregistrées depuis votre ordinateur, votre tablette ou votre smartphone et protégées par un code d’accès. Aucun risque de les perdre ou de les retrouver entre les mains d’un inconnu !


Assurer son personnel est le premier devoir des dirigeants d’entreprise. Il existe des produits adaptés pour les biens, les dommages et les personnes. Quel est l’intérêt de souscrire à une assurance professionnelle ? Comment faire pour couvrir son entreprise ?

Qu’est-ce qu’une assurance RC professionnelle ?

Une assurance professionnelle est un produit conçu sur-mesure afin de couvrir les salariés, les biens ou les dommages causés par autrui dans l’exercice de ces fonctions. Selon le site maif.fr, le produit n’est pas seulement dédié aux entreprises, mais aussi aux personnes exerçant un travail indépendant, comme les artisans, les freelancers, les commerçants, etc. En matière de responsabilité civile professionnelle, l’assureur est en droit de réparer les dommages causés à la personne. Même dans l’activité journalière d’une entreprise, les salariés et les partenaires sont confrontés à plusieurs dangers. En cas de dommage envers un salarié ou un client, la responsabilité civile de l’entreprise peut être engagée, et la victime est en droit de demander un remboursement.

Aux yeux de l’assurance, la responsabilité civile couvre les dommages qui touchent à l’activité professionnelle de l’entreprise dont le fautif peut être le salarié, le dirigeant, les fournisseurs, les animaux d’une ferme, les matériels roulants, les biens immobiliers, etc. L’étendue du contrat peut aller au-delà des missions extérieures exercées par le personnel. Toutefois, trois éléments essentiels doivent être observés en cas d’accidents tels que le dommage, l’incident déclencheur et la cause du préjudice. Si de tels éléments sont réunis et que la faute est attribuée à l’entreprise, la victime doit être indemnisée.

Comment faire pour avoir une attestation d’assurance professionnelle ?

Pour contracter une offre d’assurance professionnelle adaptée à la taille et les besoins d’une entreprise, il faut se renseigner auprès d’une compagnie ou d’un courtier. Si une offre vous convient, vous devez remplir un formulaire et livrer les pièces justificatives détaillant vos activités. Il faut vérifier que les garanties RC peuvent varier d’un contrat à un autre et le plafond des indemnités en cas de remboursement. À la conclusion du contrat, vous avez la possibilité de demander une attestation d’assurance. Ce document doit figurer le détail de votre contrat tel que le nom et les coordonnées de votre assureur, le numéro de compte (par défaut la police d’assurance), la liste des garanties, la période, le montant, la zone concernée et les valeurs de franchise obligatoires. En cas de perte, l’attestation peut être obtenue à nouveau par une simple demande. Il est possible de renouveler le contrat sur le site de la compagnie par tacite reconduction. Il faut aussi revoir les garanties octroyées à l’entreprise en cas de sinistre. Dans une telle situation, l’assurance peut être d’une grande utilité.

L’assurance pro est-elle obligatoire ?

Un produit d’assurance peut engager la responsabilité civile d’une entreprise. Elle peut ne pas être obligatoire, et la souscription dépend dans ce cas de l’activité de l’entreprise. Les risques sont imprévisibles qu’elle est souscrite par une simple précaution. Pour éviter les dommages et les préjudices, il est conseillé de conclure un contrat taillé sur-mesure et conforme à ses besoins. Dans cette optique, il existe des risques minimes et les dangers qu’il est nécessaire de souscrire un contrat. Il existe des activités où l’assurance RC pro est obligatoire surtout pour les professions libérales (artisan, plombier, serrurier, etc.), et les professions réglementées (experts-comptables, avocats, dentistes, etc.). Ils peuvent même souscrire une assurance-vie pour couvrir la retraite. Les métiers à haut risque comme le BTP, les responsables du patrimoine, les agents forestiers doivent souscrire un contrat d’assurance. En revanche, les biens et patrimoines de l’entreprise doivent aussi être couverts en complément du bail commercial, les véhicules administratifs amortis ayant plus de 5 ans, etc. Enfin, les assurances sont obligatoires pour couvrir les accidents, pour protéger le personnel sur le lieu de travail et les sinistres qui surviennent à l’extérieur.


Selon les statistiques, on recense environ 25 millions de personnes qui ont des problèmes de vue comme la presbytie, la myopie, etc. Le taux de porteur de lentille ou lunette est de 92%. Cette situation préoccupe 97% des médecins et opticiens. Or, le prix d’une paire de lunette se voit très élevé. C’est là qu’est née l’idée de Paul Morlet d’ouvrir une boutique commercialisant des objets pour protéger la vue à prix bas. Adoptant la technique marketing low-cost et d’un bon management, il a pu atteindre l’objectif.

Quel a été le parcours de Paul Morlet ?

Diplômé en BEP d’électricité à l’âge de 18 ans, il a ensuite poursuivi une formation pendant deux ans auprès d’une société ferroviaire. Après de longues années de travail dans une compagnie de renommée, l’idée de se lancer dans l’entrepreneuriat lui est venue. C’est là qu’il a eu la fabuleuse idée d’ouvrir une petite enseigne de fabrication de lunettes à usage publicitaire en misant sur un prix très attractif. En effet, l’idée c’est de concevoir des lunettes avec des stickers collés sur les verres. Par exemple, des images de stars comme Lady Gaga. C’est un homme plein d’ambition et très déterminé dans les objectifs. L’activité de Paul Morlet s’est fructifiée grâce aux médias et aux réseaux sociaux, un des moyens de publicité et de communication pour mettre en avant sa marque. Il a connu beaucoup de succès et a pu économiser quelques euros avec un chiffre d’affaires de plus d’ un million annuel. Depuis 2010, il est devenu une célébrité. La vente des lunettes de ce jeune entrepreneur est du jamais-vu, car il en vend au minimum 300 paires par jour. Or, les autres opticiens ne vendent que 3 lunettes dans la journée. La satisfaction clientèle est au cœur de Paul. En 2014, il a inauguré l’ouverture de son premier magasin à Paris avec un prix de 10 euros la paire de lunettes, un prix imbattable du marché. Il ne s’est pas arrêté à ce stade. Son objectif, c’est d’ouvrir deux magasins par mois. Plus d’infos sur guide-vue.fr.

Paul Morlet : un manager d’exception

Paul Morlet est le jeune pionnier de la start-up lunette pour tous. L’entreprise de Paul a fait un plein boom sur le marché optique grâce au prix des lunettes à 10 euros, un prix imbattable face aux concurrents, même les géants de l’optique en France. Il a rêvé grand, allie à la fois l’ambition et la simplicité. C’est un manager d’exception qui entretient de bonnes relations avec non seulement les clients, mais aussi avec ces salariés. Il s’est spécialisé principalement dans la vente des lunettes. La plupart des montures des lunettes de Paul Morlet proviennent de la Chine d’où leur vente a connu un véritable succès en territoire français. Depuis 2018, il possède huit magasins en France. C’est le reflet des personnes qui souhaitent entrer dans l’entrepreneuriat, se lancer dans le management et dans le business des entreprises avec des défis à relever. Il en est l’exemple à suivre.

Management : quel a été le principe de Paul Morlet ?

Le concept de Paul Morlet management, c’est de faire profiter aux clients des lunettes pour un coût de 10 euros la paire et qui sont disponibles à seulement 10 minutes. Il a conquis de nombreux clients grâce à ce système de management, s’avérant l’être impossible pour d’autres personnes. Il aime apprendre de nouvelles choses et est entré dans la cour des grands avec beaucoup d’assurance. Du point de vue économique, l’objectif de Paul Morlet est de mettre un grand nombre de lunettes sur le marché. Grâce à l’audace de ce jeune entrepreneur et à la consommation de la célèbre star Lady Gaga de son produit, il a gagné en notoriété et en la visibilité de la marque. Avec la collaboration de Xavier Niel, la lunette pour tous est en plein essor avec un chiffre d’affaires d’environ 26 millions dans la poche. Il souhaite ainsi faire part aux fans et aux futurs entrepreneurs d’avoir la détermination pour réussir dans un domaine. Ils doivent savoir saisir une opportunité et ont le courage de relever les défis. En entrepreneuriat, il est nécessaire d’avoir une partenaire de confiance pour atteindre ensemble la réussite d’un projet comme les stars. En outre, il faut avoir un budget pour financer ce dernier. Ce qui était la cause de la popularité de Paul Morlet.

En quoi le management de Paul Morlet est-il unique ?

La finalité de Lunettes pour tous, c’est de faire commercialiser une paire de lunettes sur le marché français à un prix alléchant, d’une dizaine d’euros. Le service de cette enseigne est unique grâce à la rapidité de la mise à disposition des lunettes, qui ne prend que 10 minutes. À la différence des autres sociétés dans le secteur de l’optique, elle ne demande aucune ordonnance ni autre justificatif pour pouvoir acquérir les lunettes. L’idée, c’est que tous ont leur propre lunette avec facilité d’accès. Aucune prise de tête. Par ailleurs, il est possible de se faire examiner la vue à titre gratuit. La société de Paul Morlet fait un déploiement de forces pour ouvrir plusieurs magasins avec plusieurs postes à pourvoir.

Justifiant de l’adresse officielle d’une entreprise, le siège social est important autant du point de vue pratique que juridique. En cas de déménagement de la société par exemple, il est possible de changer cette adresse. Cette modification entraîne un changement statutaire de l’entreprise. Découvrez notre guide pour le bon déroulement de la procédure de changement d’adresse de siège social.

Qu’est-ce que le siège social ?

Le siège social est obligatoire pour toutes les sociétés. C’est le lieu de réunion entre les responsables de la direction, et celui où sont prises toutes les décisions stratégiques. L’adresse du siège social désigne l’emplacement géographique de l’entreprise. Cette mention figure dans tous les documents liés à l’entreprise, y compris sur l’extrait Kbis de la société. Le choix du siège social d’une entreprise est important puisqu’il détermine sa nationalité, et par conséquent le tribunal compétent. Le siège social est unique. Ainsi, une entreprise ne peut en posséder deux. L’adresse peut correspondre au domicile personnel du dirigeant, mais aussi d’un local propre à l’entreprise. L’adresse peut également être contractée auprès d’une société de domiciliation. Un transfert de siège social est possible. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site internet www.leblogdudirigeant.com.

Quelles sont les démarches à réaliser pour la modification statutaire ?

Effectuer un changement d’adresse de siège social implique une modification du statut de l’entreprise. En effet, il découle d’une modification de l’adresse du siège qui figure sur les statuts. Ce sont les organes de l’entreprise détenant le pouvoir qui ont la capacité de décider d’un changement de siège social. Eux seuls peuvent modifier le statut de l’entreprise. Avant de se lancer, il est important de bien comprendre les implications de créer une entreprise de portage salarial, car cela peut impacter la localisation du siège social.

En fonction de la forme sociale de la société, ces organes peuvent varier.

Dans le cas d’une société à responsabilité limitée (SARL), la décision de changement d’adresse du siège social peut incomber gérant. Lorsqu’il s’agit d’un transfert de siège social en France, cette décision doit être ratifiée par les associés qui représentent au moins de la moitié des parts sociales. Cependant, lorsqu’il s’agit d’un déplacement du siège social vers une destination située hors du territoire français, cette décision doit être ratifiée à l’unanimité.

Dans une société anonyme (SA), les organes ayant le pouvoir de décider d’un transfert de siège social sont le conseil de surveillance ou le conseil d’administration. Lorsqu’il s’agit d’un déplacement en France, cette décision est soumise à la ratification par l’assemblée générale ordinaire. Cependant, lorsque la destination du transfert est située à l’étranger, la décision implique la réunion d’une assemblée générale extraordinaire.

Pour les entreprises relevant du statut de société par actions simplifiée, ce sont les statuts qui permettent de désigner l’organe qui est compétent pour prendre une décision de modification du statut. Ils sont définis lors de la création de l’entreprise. Les organes compétents pour décider d’un changement de statut peuvent être choisis librement. Il existe une seule condition nécessitant l’accord de tous les associés. Il s’agit du changement de la forme de la société. Par exemple, créer une entreprise de portage salarial nécessite une attention particulière à la conformité réglementaire, influençant ainsi le choix du siège social.

Dans le cadre d’une société civile, les statuts prévoient la réunion d’une assemblée générale extraordinaire. Pour acter le changement de siège social, elle doit voter à la majorité des associés. Si aucune disposition n’existe dans les statuts, cette décision est prise à l’unanimité.

Comment assurer la publication du transfert de siège ?

Une fois que la modification du statut de l’entreprise a bien été effectuée, celle-ci dispose d’un délai de 1 mois après l’édition de l’acte modificatif pour publier le transfert du siège. Durant ce délai de 1 mois, l’entreprise doit publier dans un journal d’annonces légales un avis de modification. Dans ce document, il faut préciser l’ancien et le nouveau siège social de la société. S’il n’y a pas de changement vis-à-vis du ressort du tribunal du commerce, l’avis de modification doit être publié dans le journal d’annonces légales du lieu correspondant au siège social. Cependant, il faut publier deux avis si le ressort diffère. En effet, un premier avis de modification est publié dans le journal d’annonces légales du département correspondant au lieu de départ et un second document est publié dans le lieu d’arrivée.

Comment déclarer le changement de siège social ?

Une fois la publication du transfert de siège publiée, il faut déclarer la modification statutaire auprès du CFE. Cela peut également être effectué auprès du greffe du tribunal de commerce dont le nouveau siège social dépend territorialement. Plusieurs documents sont nécessaires à l’enregistrement de l’acte modificatif :

Des téléservices sont disponibles afin d’effectuer ces démarches en ligne. La procédure est similaire, que vous souhaitiez créer une entreprise de portage salarial ou un autre type d’entreprise.


Le management de transition occupe une place prépondérante dans la gestion d’entreprise. Ce mécanisme permet d’accroître la performance. L’entreprise mandate un cadre externe afin d’optimiser la gestion. Le cabinet de management de transition intervient au moment clé de la vie d’une firme. Il entre en jeu dans une situation de croissance ou crise.

Mangement de transition : une solution pertinente et efficace pour une entreprise

Apparu dans les pays anglo-saxons vers le dix-huitième siècle, le management de transition ou « interim management » s’est développé en France depuis l’an 2000. Ce mécanisme permet de remédier un déficit de management. L’expert assure l’efficacité d’un changement au sein d’une entreprise. Ce type de management a pour fins d’optimiser la rentabilité. Le manager joue le rôle d’urgentiste d’entreprise. Il intervient au moment propice pour régler une problématique précise. C’est un allié de la croissance d’une entreprise. La question se pose, quel cabinet de conseil choisir ? Si vous voulez mener à bien votre projet, vous pouvez faire appel à un cabinet de management de transition à Paris.

La mission du manager de transition est minutieusement organisée. Le rôle de l’expert est déterminé au préalable. En amont, il identifie les besoins de son mandataire. L’expert en management diagnostique l’état des lieux. Cette phase est le pilier du succès de la mission entière. Après le diagnostique, le professionnel élabore un plan opérationnel. D’emblée, le manager établit l’ordre de priorité sur les tâches à réaliser. La planification permet la prise de décision au moment propice.

L’évolution de la mission managériale est mesurable. Le cabinet de recrutement évalue périodiquement l’efficacité de son expertise. Le suivi sert à apprécier l’avancement du projet. Un rapport de suivi permet d’appréhender les résultats obtenus. La mission peut être ajustée en fonction des résultats. En cas d’écart entre le résultat attendu et les tâches accomplis, l’expert mène des actions correctives adéquates. Au terme de sa mission, le technicien assure la continuité de son action. Il contribue au recrutement de son successeur. La mission est bouclée par un bilan de fin de mission.

Management de transition : œuvre d’expert au profit de la performance

La durée de mission d’un manager varie en fonction des tâches à effectuer. En principe, il réalise sa mission entre 3 à 18 mois. L’expert intervient de manière transitoire, il n’a pas vocation à demeurer longtemps dans une organisation. Toutefois, la mission peut être prorogée ou renouvelée. Le manager s’engage à atteindre les objectifs au bout de sa mission.

En réalité, le manager externe s’occupe d’un poste clé auprès d’une fonction stratégique. Le professionnel polyvalent maîtrise toutes les fonctions délicates dans une société. On fait souvent appel à un manager sur le pôle financier. Cette perspective permet de maîtriser les coûts et de maximiser les profits. L’expert initie l’optimisation fiscale.Dans la gestion de ressource humaine, le technicien optimise l’efficacité des employés. Le département approvisionnement ou marketing font partie du domaine d’intervention du manager.

Management de transition : une issue adéquate en période de changement ou de crise

L’entreprise fait face à des situations à fort enjeu. C’est le cas d’une rupture managériale ou transformation complexe. Dans ce cas, le manager assure l’effectivité d’un projet à court et à long terme. De nos jours, l’entreprise est tenue de suivre le rythme de l’évolution technologique. La digitalisation permet de se distinguer de la concurrence. A cet effet, le manager peut optimiser l’instauration d’un nouvel ERP.

Parfois, l’expert est sollicité pour remplacer un manager absent. Il assure l’intérim avec la déontologie du métier. Fort de ses compétences, l’expert est instantanément opérationnel. Le manager met en œuvre son talent et sa technicité pour accompagner la restructuration d’une firme. D’ailleurs, le recrutement d’un manager suit un processus prédéfini. Le cabinet de management peut intervenir dans les panoplies de secteur d’activité. Comme les entreprises industrielles ou commerciales, prestataires de service peuvent solliciter un manager par intérim. Comme les PME, grandes entreprises et les start-up profitent des avantages du management de transition. Pour pouvoir mener à bien ses expertises, l’expert est doté d’un leadership inné et soft skills.

Management de transition : générateur de  plus-value  à court et à long terme

Le secteur du management a connu une croissance exponentielle. Divers cabinets de conseils proposent une prestation de management de transition aux organisations. Le choix d’un cabinet est fastidieux. Un critère de choix doit être mis en place. L’entreprise a intérêt à opter pour un cabinet notoire et expérimenté. Dans ce sens, il est avantageux de consulter l’historique du prestataire. L’avis des clients en lignes permet d’apprécier la compétence d’un manager. Il est préférable de privilégier un cabinet  immédiatement disponible. La couverture territoriale est aussi déterminante dans le choix. A titre d’exemple, une firme internationale nécessite une expertise particulière. Il convient d’opter pour un cabinet ayant une implantation internationale. Le coût de la prestation constitue souvent une entrave pour l’organisation. Cependant, le recours à un manager est un investissement mais pas un coût. Le retour sur investissement est palpable. Les avantages issus de l’expertise perdurent dans le temps.

 

 

Toutes les entreprises, quel que soit leur statut, ont l’obligation d’ouvrir et de posséder au moins un compte bancaire professionnel. L’ouverture d’un compte se fait en général au moment de la création de l’entreprise. Il est indispensable pour déposer le capital initial, pour effectuer l’immatriculation et pour gérer les transactions financières et comptable de l’entreprise. Les tarifs appliqués par les établissements bancaires sont différents d’une institution à l’autre. Il est ainsi important de faire un comparatif pour faire le meilleur choix.

Quels sont les éléments de comparaison à tenir compte ?

Les frais bancaires constituent un élément déterminant pour faire le choix. Les réglementations imposent aux banques la fourniture d’informations plus détaillées aux usagers pour garantir plus de transparence aux services offerts. Toutefois, ce n’est pas toujours évident de se retrouver dans les brochures tellement les frais sont nombreux et variés en fonction des gammes de produits et de prestations. Cliquez sur ce lien pour en savoir plus sur les établissements bancaires et leurs tarifications. Vous pouvez aussi comprendre la légitimité des frais bancaires. La qualité de service constitue également un critère de choix important.

Pourquoi les frais bancaires sont-ils plus chers pour les professionnels ?

Les tarifs des banques traditionnelles sont plus élevés par rapport à ceux des banques en ligne. C’est un constat établi par les baromètres des frais bancaires professionnels qu’on peut trouver facilement en ligne dans des sites « comparateur de banque ». Il existe de nombreux frais prélevés par les banques : les frais usuels sont les frais de tenues de compte, les commissions de mouvement, les frais de carte bancaire et de package, les frais de virement, les commissions de plus fortes découvertes, le taux d’intérêt bancaire, l’assurance, les commissions de versements ou retraits déplacés, les frais de services en ligne, la location de terminal de paiement électronique…

Comment faire pour réduire les frais bancaires ?

Il existe deux possibilités pour réduire les frais bancaires. La première est de recourir à un comparatif des frais bancaires en ligne. Pour éviter de se perdre dans les détails, il faut identifier les services indispensables et fréquemment utilisés par l’entreprise pour servir d’éléments de comparaison. La seconde possibilité est de prendre un package et de négocier les tarifs avec la banque. Les offres groupées sont toujours plus avantageuses même s’il existe des services inutilisés. Il est à noter que les frais publiés par les banques sont affichés hors taxe, ce qui peut prêter quelquefois à confusion. Pour bien calculer les frais, n’oublier pas tenir compte les taxes.

Les néobanques existent en France depuis bien longtemps. Plus précisément, elles commencent à s’imposer sur le secteur de la banque en ligne depuis 2010. Mais en fait, de quoi s’agit-il exactement ? Quels sont ses avantages et inconvénients ? Qui peut utiliser leurs services ? …

Néobanque : définition

Une néobanque est d’abord un établissement qui propose des services bancaires exclusivement en ligne. Aussi, elle n’est rattachée à aucune autre banque classique. Toutes les opérations et transactions se font avec une application mobile ou sur le site web de la structure. Les clients bénéficient également d’une carte de débit pour faire des retraits auprès des distributeurs automatiques de billets de banque ou pour effectuer un paiement.

Actuellement, certains établissements ont réussi à obtenir une licence bancaire. D’autres sont seulement considérés comme des intermédiaires financiers. Afin de vous satisfaire, trouvez sur ce lien la sélection des meilleures néobanques du moment.

Quels sont les avantages et inconvénients des néobanques ?

Premièrement, l’ouverture d’un compte auprès d’une néobanque est simple. On n’a pas besoin de plusieurs documents justificatifs. Votre carte nationale d’identité est suffisante pour la création de votre compte. Vous n’aurez pas non plus besoin de justificatif de revenus. Les services sont ouverts à tout le monde y compris les interdits bancaires. Le tarif est plus bas que ce que proposent les banques traditionnelles. Vous pouvez profiter d’une application et/ou plateforme web ergonomiques accessibles n’importe où dans le monde.

Par contre, vous ne pouvez pas bénéficier du découvert, car les néobanques n’ont pas le droit de proposer du crédit à leurs clients. Il est impossible de faire un dépôt de chèque ou en espèces. En effet, les dépôts devront obligatoirement être réalisés par virement. Enfin, il n’existe pas de services financiers.

À qui s’adressent-elles donc ?

Généralement, les néobanques sont destinées aux personnes qui souhaitent quitter les banques classiques. Il y a aussi les interdits bancaires qui ne peuvent plus bénéficier des services de ces banques traditionnelles. Les néobanques visent aussi les travailleurs indépendants souhaitant avoir un compte professionnel à prix réduit. En outre, les personnes qui font des achats fréquents sur Internet seront satisfaites grâce aux frais abordables. Enfin, on retrouve les parents qui souhaitent ouvrir un compte pour leur enfant.

En somme, ces informations et explications ont été abordées de façon à ce que vous compreniez ce qu’est vraiment une néobanque. Alors, qu’attendez-vous pour choisir la vôtre ?

Nombreuses sont les raisons qui poussent les entrepreneurs à faire un crédit professionnel. En effet, c’est une bonne alternative pour financer des investissements ou pour constituer un capital de départ pour ensuite créer leur structure. Par ailleurs, sachez que le banquier va étudier certains critères afin de s’assurer de la fiabilité de son nouveau client. Comme toute entreprise, une banque cherche à réduire sa prise de risque et elle optimise sa rentabilité. Ainsi, face à de nombreux concurrents, il faut tenir compte de quelques qualités pour que votre prêt soit approuvé.

Réaliser un business plan convaincant

Toute demande de financement auprès d’un organisme financier doit être constituée par un dossier de prêt. Lorsqu’il s’agit d’une création d’entreprise, votre dossier sera un « business plan ». Ce dernier doit contenir les informations intégrales concernant votre future entreprise. L’étude de marché, la forme juridique… et d’autres éléments doivent être faits pour convaincre le banquier de la capacité que possède la future société pour honorer ses dettes. Cela dit, vous devez effectuer des études de faisabilité ainsi que des prévisions pour obtenir votre prêt professionnel. Cependant, c’est une démarche qui ne s’improvise pas, donc consultez un professionnel pour constituer un business plan irréprochable. Pour vous différencier des autres concurrents, vous pouvez également munir d’une présentation visuelle de type PowerPoint pour exposer les éléments-clés de votre dossier. C’est un élément nécessaire lors de l’entretien. Le site compte-pro.com vous fournira les renseignements essentiels à ce propos.

Adressez-vous aux bons interlocuteurs

Parmi les différents banquiers, il y a ceux qui s’occupent spécialement des financements d’entreprises. Ils ont pour rôle de se charger de toutes les procédures nécessaires pour obtenir un prêt professionnel. À savoir : négocier auprès de quelques organismes de crédit et s’occuper du dossier de financement. Ainsi, cela vous aidera à obtenir le crédit de manière plus rapide. Donc, vous devez vous renseigner avant d’envoyer votre demande. Sachez que l’aide d’un courtier spécialisé vous aidera à constituer « un dossier solide de demande » : une clé idéale pour obtenir votre prêt.

L’entretien avec le banquier : ce qu’il faut savoir

Comme vous avez soigné votre dossier, soignez également votre aspect physique. Faites-vous connaître à travers votre apparence physique lors de l’entretien. Comme toute rencontre professionnelle, c’est une occasion qui requiert une bonne préparation. Là, il s’agit à la fois de peaufiner votre présentation et de modérer le ton de votre langage au cours de la conversation. Vous avez intérêt à montrer patte blanche et faire preuve d’optimisme pour convaincre votre courtier que le risque à prendre par l’organisme financier est minime. Accorder un prêt professionnel pour financer un projet n’est pas une décision facile à prendre. Donc, veillez à ne pas négliger le moindre critère de fiabilité.

Le logiciel de l’application mobile s’installe sur une tablette ou un smartphone, avec une utilité précise pour l’utilisateur final. Des applications mobiles permettent entre autres de prendre des photos, consulter ou gérer ses comptes bancaires, acheter des produits, réserver des services, ou jouer. Les applications peuvent fonctionner sans être connectées à la différence d’un site internet. Cet article parle des avantages de cette application mobile.

L’application mobile est plus sécurisée

La banque mobile accorde une importance cruciale à la sécurité. C’est pour cela qu’elles met tout en œuvre pour assurer une sécurité optimale. En conséquence, certaines personnes exigent un mot de passe. D’autres souhaitent une identification par lecteur de carte, un code d’accès à chiffres, ou une empreinte digitale. Les services bancaires en ligne et les services bancaires mobiles ne sont pas les mêmes. Les services bancaires mobiles s’effectuent via le navigateur, dans une page web unique . Plusieurs banques, comme DBS, assurent à 100 % quand il s’agit de transactions financières. En cas de vol ou de perte de téléphone, il faut appeler immédiatement la banque pour bloquer l’application. Pour plus d’information, consultez le site Compte-pro.com par exemple.

L’application mobile est disponible à tout moment

Pour les pères et mères qui travaillent, il n’est pas toujours facile de sortir de l’entreprise à tout moment pour aller à la banque. La nécessité des opérations d’une banque mobile intervient à ce niveau. Les applications sont toujours disponibles et peuvent être estimées n’importe où, et n’importe quand. Tout ce que les gens ont à faire est de contrôler leurs comptes. Maintenant, tout est là, à la portée des mains. Aussi, il ne faut pas s’inquiéter. Même à minuit, les transactions sont toujours assurées, autant qu’elles le seraient à tout autre moment de la journée.

Une application mobile fonctionne plus rapidement que les sites web

Une application mobile parfaitement conçue exécute des actions plus rapides qu’un site web mobile. Cette application stocke habituellement des serveurs web. C’est pour cette raison que la récupération des données s’effectue plus vite sur les applications mobiles. Elles permettent également aux clients d’avoir du temps en écrivant leurs références, et en les utilisant pour faire des proactives en leur nom. Le site web mobile est donc plus lent que cette application mobile.  Donc, tout cela se fait en arrière-plan, les clients exécutent des actions rapidement dans le front-end des opérations mobiles. Tout ceci contribue à une expérience client agréable.